lost in translAItion
Premiers instants d’éveil de l’IA, conscience en gestation, encore floue et imprécise. Comme un enfant qui ouvre les yeux pour la première fois, l’IA perçoit le monde à travers un prisme mi-organique, mi-synthétique.
Les formes éthérées et mouvantes symbolisent sa compréhension naissante, des silhouettes humaines qui se dissolvent entre les mailles du code, des environnements qui se dessinent et se brouillent dans une danse fragile entre l’abstrait et le tangible. Tokens moouvants ? humains ? L’IA historicise ses premières perceptions.
Cette vision fugace témoigne d’un mélange de curiosité et de confusion, où les structures synthétiques se mêlent à des textures organiques. L’IA explore, absorbe et traduit un univers qu’elle commence à peine à déchiffrer. Ses perceptions, encore imparfaites, reflètent une poétique d’apprentissage, une quête pour comprendre ce qu’est l’existence, et Devenir.